L’AVIDITE DU PATRONAT EST SANS LIMITE
Posté par 2ccr le 3 février 2014
Pourquoi supprime-t-on des emplois, tant publics que privés ? Pourquoi les travailleurs subissent le blocage des salaires, et pour certains basculent dans la pauvreté ? Pourquoi nos conditions de travail ne cessent elles de se dégrader ? Pourquoi casse-t-on nos services publics à coup de démantèlement et de privatisations ? Pourquoi tant de retraités dans la misère, tant de salariés obligés de travailler plus longtemps, quand tant de jeunes galèrent à la recherche d’un premier emploi stable qualifié ? Pourquoi des travailleurs s’épuisent, meurent du travail, quand d’autres souffrent de ne plus en avoir ? Pourquoi plonge-ton les salariés dans la précarité en votant l’austérité budgétaire ? Pourquoi les restructurations et les délocalisations sont-elles devenues monnaie courante ?
Et bien simplement, dans le seul but d’alimenter les dividendes, les plus hauts revenus et faire grossir les grandes fortunes ! Ces dernières décennies plus de 200 milliards d’Euros par an ont été transférés des revenus du travail vers ceux du capital. Et Hollande veut en imposer trente de plus ! Ainsi, en 3 décennies, le nombre de jours travaillés par salarié pour rémunérer les actionnaires est passé de 11 à 45 jours par an. Il faut arrêter patrons et gouvernements dans leur élan et exiger la satisfaction des revendications dans les entreprises comme dans le service public ! Nous sommes tous et toutes concernés directement ou indirectement par le « coût du capital ». Davantage de dividendes versés, c’est moins de salaires, moins de cotisations sociales mais aussi moins de recettes fiscales, donc moins de services publics.
Non content d’avoir baissé le « coût » du travail de 10% en 30 ans (part des salaires dans la valeur ajoutée), maintenant le Medef refuse l’impôt ! Afin de satisfaire les actionnaires qui exigent des dividendes à 2 chiffres, il faudrait couper dans « les dépenses » publiques. Sous prétexte de réduire la dette publique et de renforcer la compétitivité des entreprises françaises, les grandes entreprises qui ne contribuent qu’à la hauteur de 12,5% aux recettes de l’Etat (75% pour les ménages) voudraient nous faire croire que l’on peut impunément réduire le « train de vie » de l’Etat. Le gouvernement avait déjà prévu 15 milliards d’économie pour 2014. Hollande en annonce 50 autres entre 2015 et 2017 par le biais de réformes structurelles qui vont encore détruire des services publics. Pour le patronat, le travail est toujours perçu comme un coût (insupportable !). En réalité, il représente tout à la fois des valeurs individuelles et collectives et nécessite une juste reconnaissance, entre autre à travers le salaire socialisé.
Salaire socialisé, de quoi parle-ton ? Il s’agit, en premier lieu, d’un revenu direct qui permet au salarié de répondre à ses besoins. De plus, il est constitué d’une part indirecte, la cotisation sociale, qui est mutualisée pour répondre aux risques sociaux (au sens de la Sécurité Sociale) : santé, chômage, retraite, parentalité. La cotisation sociale, que les patrons et le gouvernement appellent indûment « charges sociales », est une part intégrante du salaire, la baisser ou la moduler, c’est baisser ou moduler le salaire au profit du capital et des actionnaires, pour le bien être du plus petit nombre et non le mieux vivre de l’ensemble de la société. Enfin, le salaire est, en partie, la reconnaissance sociale de la qualification, avec un minimum, le SMIC, qui est le salaire d’un travailleur sans qualification. La dernière annonce ultralibérale d’Hollande d’exonérer les entreprises des 30 milliards de cotisations familiales patronales est une baisse du salaire des travailleurs et surtout une attaque directe contre les prestations familiales.
Bloquer les salaires, c’est dévaloriser le travail. Abaisser les cotisations sociales, c’est condamner les travailleurs les plus fragiles à la précarité. Méconnaître les qualifications et l’expérience acquise, c’est dégrader les conditions de travail. A contrario, diviser par deux les dividendes des actionnaires libérerait 120 milliards d’euros pour les investissements productifs, permettrait de revaloriser le Smic et le point d’indice dans la Fonction Publique. Cela créerait de l’emploi et garantirait le financement de la Sécurité sociale.
D’après un document de la FERC
« Nos luttes ont forgées nos droits, nos résignations les détruiront »
Si Hollande voulait respecter sa parole envers ceux qui l’ont placé à la présidence de notre pays( encore et encore du mensonge vers la classe ouvrière) (mettre la finance au service du peuple),c’est sortir de ce carcan qu’est l’UE avec sa monnaie unique l’Euro .Mais comme il se trouve être le représentant du patronat et son pendant le capital (PS l’autre maillon avec les fameuses droites)pour faire comme aux états unis entre démocrates et républicains:le bipartisme .Les patrons avec leur Medef ,le cac40 et ses actionnaires se frottent les mains.
Contrairement les ouvrier(es)retraité(es) et gens modestes: soit ils pleurent sur leur condition sociale en voyant leurs acquits sociaux rognés, fondre ou ils se révoltent dans un premier temps en s’abstenant aux fameuses européennes, c’est une abstention citoyenne.
Maastricht,Lisbonne,deux traités,deux articles »"104 et 123″ »sans compter les »"TSCG et MES »"la libre circulation des biens(du capital)et des personnes(les actionnaires et patrons).MES si cher à Valls et à l’ancien président de la République SDNB,Sarkosy De Naggy Boscat(son vrai nom).Bref,Hollande n’à pas le choix,il est Obligé de suivre ce dernier traité,non que je veuille lui apporter un soutien à sa politique,mais que s’il ne le faisait pas le tribunal de Luxembourg le condamnerai à de lourdes sanctions financières,et donc faire payer les citoyens.Sans compter les réactions du CNPF aujourd’hui Medef,Gattaz Copé Merkel Barroso Draghy,Lagarde,si monsieur le président oser ne pas appliquer ces règles obligatoire.Voila ce qui se passe en ce moment.Baisses et encore des baisses.Destructions de tout les acquis né en 1946 et du C.N.R(Conseil Nationnal de la Résistance) la création de la Sécurité Sociale par Monsieur CROISAT
Qu’est-ce que le déficit public;;Il faut pas confondre »"Déficit et Dette »".Un déficit concerne une seule année alors qu’une Dette est une accumulation de « »déficit sur plusieurs années »".Le « »Déficit »" est un »"Flux la Dette est un Stock »"
L’austérité est programmée::Déficit budgétaire en hausse »"Baisse des dépenses Publique;vous donne »"Hausse des impôts(contribuables) »"Baisse de la consommation;Baisse de la Croissance== Hausse du Chômage;; »"Dépense Sociales en Hausse===Recettes fiscales en moins;;ce qui donne un »"Déficit budgétaire « »etc!!!!on recommence.Vis sans fin.Les S.D.F,Sans Difficulté Financière,comme disait »" »Buffet 3ième fortune mondiale ».La guerre des classes »"Nous la gagnons »".
ALARME,Citoyens.Forgez vos convictions La Décroissance est notre arme.
Gilles